Kant
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Re: Kant
Emmanuel Kant est né le 22 avril 1724 à Königsberg (capitale de la Prusse-Orientale, dans l’actuelle ville de Kaliningrad). Il y a poursuivi ses études avant de devenir précepteur puis professeur à l’université. Il est mort le 12 février 1804 à Königsberg. Kant n’a presque jamais quitté sa ville natale, mais il est resté très informé de ce qui se passait dans le monde et il a produit une œuvre considérable.
Ses textes les plus importants sont le fruit d’un très long travail et ne paraissent qu’à partir de 1781 avec la Critique de la raison pure. Kant travaille sur notre de manière de penser la connaissance puis sur la notion de morale. Pour Kant, une action morale est universalisable, c’est-à-dire valable pour tout être raisonnable. Ainsi on comprend que le mensonge ne pas être un bien. La valeur morale n’est pas un choix subjectif, mais une obligation qui s’impose à la raison de tout homme. L’action morale ne s’accomplit pas selon un calcul d’intérêt, elle n’a pas de finalité pour le bonheur, mais se présente comme un devoir inconditionnel.
Il était un admirateur de la révolution française et a tenté de répondre en 1784 à la question « qu’est-ce que les Lumières ? » en résument ces dernières par l’action de conquérir sa liberté dans l’usage de la raison en osant penser par soi-même (sapere aude). Il considère d’ailleurs que l’Homme est définit par sa conscience de soi, qu’il doit acquérir, et qui le distingue des animaux.
Ses textes les plus importants sont le fruit d’un très long travail et ne paraissent qu’à partir de 1781 avec la Critique de la raison pure. Kant travaille sur notre de manière de penser la connaissance puis sur la notion de morale. Pour Kant, une action morale est universalisable, c’est-à-dire valable pour tout être raisonnable. Ainsi on comprend que le mensonge ne pas être un bien. La valeur morale n’est pas un choix subjectif, mais une obligation qui s’impose à la raison de tout homme. L’action morale ne s’accomplit pas selon un calcul d’intérêt, elle n’a pas de finalité pour le bonheur, mais se présente comme un devoir inconditionnel.
Il était un admirateur de la révolution française et a tenté de répondre en 1784 à la question « qu’est-ce que les Lumières ? » en résument ces dernières par l’action de conquérir sa liberté dans l’usage de la raison en osant penser par soi-même (sapere aude). Il considère d’ailleurs que l’Homme est définit par sa conscience de soi, qu’il doit acquérir, et qui le distingue des animaux.
Coraline- Messages : 7
Date d'inscription : 07/01/2016
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